ANAA, 13 Mars (SABA) - Le ministre des Affaires étrangères Hisham Sharaf a remis mardi à la coordinatrice résidente de l'ONU, Lise Grande, une lettre adressé par le président Mahdi al-Mashat au secrétaire général de l'ONU, António Guterich, concernant l'entrée de l'agression lancée par le coalition dirigée par les saudiens sur le Yémen sa cinquième année.
La lettre soulignait la poursuite de l'agression au même rythme en tuant, en assiégeant, en affamant le peuple yéménite et en commettant les crimes les plus odieux constituant des crimes de guerre, ainsi que d'autres contre l'humanité sans aucune dissuasion morale ou juridique.
Le message indiquait qu'à un moment où les Yéménites, après avoir signé l'accord de Stockholm à la mi-décembre 2018, espéraient renforcer les mesures de confiance afin de créer une véritable avancée dans la situation et d'atténuer les souffrances de l'humanité en vue du début d'une véritable processus vers la paix et normalizer de la situation, les pays de la coalition poursuivent leurs frappes aériennes et d'autres attaques quotidiennes contre des civils pour contrecarrer l'accord de Stockholm et pour tenir les forces nationales à Sanaa pour responsables de l'échec de l'accord comme prétexte pour d'autres violations.
La lettre invitait le président du Conseil de sécurité des Nations unies à s'acquitter de ses responsabilités au titre de la Charte des Nations unies en prenant un certain nombre de mesures urgentes pour garantir le droit de plus de 28 millions de citoyens yéménites d'exercer leurs droits qui leur sont normalement reconnus de vivre dans la paix et la sécurité et adopter une résolution contraignante pour mettre fin à l'agression militaire.
De son côté, le ministre des Affaires étrangères a discuté avec le coordonnateur résident des Nations Unies du niveau de coopération face à la catastrophe humanitaire au Yémen.
Le ministre a affirmé qu'il était prêt à fournir toutes les facilités nécessaires au succès des activités de toutes les organisations et institutions de secours et humanitaires de l'ONU.
Grande a exprimé ses remerciements pour la coopération et les services offerts, soulignant qu'il importait de créer un climat propice au travail des organisations internationales et de continuer à fournir l'aide humanitaire nécessaire.
AA
SABA
La lettre soulignait la poursuite de l'agression au même rythme en tuant, en assiégeant, en affamant le peuple yéménite et en commettant les crimes les plus odieux constituant des crimes de guerre, ainsi que d'autres contre l'humanité sans aucune dissuasion morale ou juridique.
Le message indiquait qu'à un moment où les Yéménites, après avoir signé l'accord de Stockholm à la mi-décembre 2018, espéraient renforcer les mesures de confiance afin de créer une véritable avancée dans la situation et d'atténuer les souffrances de l'humanité en vue du début d'une véritable processus vers la paix et normalizer de la situation, les pays de la coalition poursuivent leurs frappes aériennes et d'autres attaques quotidiennes contre des civils pour contrecarrer l'accord de Stockholm et pour tenir les forces nationales à Sanaa pour responsables de l'échec de l'accord comme prétexte pour d'autres violations.
La lettre invitait le président du Conseil de sécurité des Nations unies à s'acquitter de ses responsabilités au titre de la Charte des Nations unies en prenant un certain nombre de mesures urgentes pour garantir le droit de plus de 28 millions de citoyens yéménites d'exercer leurs droits qui leur sont normalement reconnus de vivre dans la paix et la sécurité et adopter une résolution contraignante pour mettre fin à l'agression militaire.
De son côté, le ministre des Affaires étrangères a discuté avec le coordonnateur résident des Nations Unies du niveau de coopération face à la catastrophe humanitaire au Yémen.
Le ministre a affirmé qu'il était prêt à fournir toutes les facilités nécessaires au succès des activités de toutes les organisations et institutions de secours et humanitaires de l'ONU.
Grande a exprimé ses remerciements pour la coopération et les services offerts, soulignant qu'il importait de créer un climat propice au travail des organisations internationales et de continuer à fournir l'aide humanitaire nécessaire.
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