Paris - Saba :
Le Premier ministre par intérim du Liban, Najib Mikati, a confirmé hier jeudi que la priorité est désormais un cessez-le-feu au Liban.
Selon les médias libanais, Mikati a déclaré dans une déclaration après la conférence de Paris pour soutenir le Liban : « Cette question n'est pas entre mes mains ni entre les mains des pays qui se sont montrés solidaires avec nous, mais entre les mains (d'Israël). » soulignant que la priorité est un cessez-le-feu, puis la mise en œuvre de la résolution 1701 et le déploiement de l'armée du Litani et le renforcement de son rôle et de celui de la FINUL.
Mikati a ajouté : "Il y a une forte pression internationale sur (Israël) et le cessez-le-feu n'est pas entre mes mains ni entre les mains des pays qui se sont montrés solidaires avec nous."
Il a souligné que "le président français Emmanuel Macron a fait le nécessaire, se soucie de la question du Liban et en connaît tous les détails. Je remercie tous ceux qui ont contribué au succès de cette conférence", soulignant que "l'aide humanitaire n'est pas suffisante car les gens doivent d’abord être protégés.
Mikati a déclaré : « L'État libanais a besoin d'une reconstruction radicale de son économie et de ses institutions ainsi que du renforcement des forces armées libanaises. »
Le Premier ministre par intérim du Liban, Najib Mikati, a confirmé hier jeudi que la priorité est désormais un cessez-le-feu au Liban.
Selon les médias libanais, Mikati a déclaré dans une déclaration après la conférence de Paris pour soutenir le Liban : « Cette question n'est pas entre mes mains ni entre les mains des pays qui se sont montrés solidaires avec nous, mais entre les mains (d'Israël). » soulignant que la priorité est un cessez-le-feu, puis la mise en œuvre de la résolution 1701 et le déploiement de l'armée du Litani et le renforcement de son rôle et de celui de la FINUL.
Mikati a ajouté : "Il y a une forte pression internationale sur (Israël) et le cessez-le-feu n'est pas entre mes mains ni entre les mains des pays qui se sont montrés solidaires avec nous."
Il a souligné que "le président français Emmanuel Macron a fait le nécessaire, se soucie de la question du Liban et en connaît tous les détails. Je remercie tous ceux qui ont contribué au succès de cette conférence", soulignant que "l'aide humanitaire n'est pas suffisante car les gens doivent d’abord être protégés.
Mikati a déclaré : « L'État libanais a besoin d'une reconstruction radicale de son économie et de ses institutions ainsi que du renforcement des forces armées libanaises. »