Téhéran - Saba :
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Ismail Baghaei, a fermement condamné hier, le vendredi, le crime de l’entité sioniste visant les journalistes au Liban.
Baqaei a écrit sur son compte personnel sur la plateforme sociale « X » en disant : « Un autre exemple du crime de guerre brutal commis par Israël est le ciblage délibéré de la résidence des journalistes dans le sud-est du Liban, vendredi matin, qui a conduit au martyre de trois : le photographe d'Al-Mayadeen Ghassan Najjar, et son collègue, l'ingénieur de diffusion en direct Muhammad Reda, et le caméraman d'Al-Manar TV Wissam Qassem, et ce crime est condamné de la manière la plus ferme.
Il a ajouté : L'entité israélienne a tué 180 journalistes et professionnels des médias rien que l'année dernière.
Le porte-parole iranien a souligné que les journalistes et les professionnels des médias sont protégés par le droit international humanitaire conformément aux Conventions de Genève de 1949, notamment la Troisième Convention de Genève, et aux deux Protocoles additionnels de 1977, notamment l'article 79 du Premier Protocole additionnel concernant la protection des journalistes travaillant dans des missions professionnelles dangereuses dans des zones de conflit armé.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Ismail Baghaei, a fermement condamné hier, le vendredi, le crime de l’entité sioniste visant les journalistes au Liban.
Baqaei a écrit sur son compte personnel sur la plateforme sociale « X » en disant : « Un autre exemple du crime de guerre brutal commis par Israël est le ciblage délibéré de la résidence des journalistes dans le sud-est du Liban, vendredi matin, qui a conduit au martyre de trois : le photographe d'Al-Mayadeen Ghassan Najjar, et son collègue, l'ingénieur de diffusion en direct Muhammad Reda, et le caméraman d'Al-Manar TV Wissam Qassem, et ce crime est condamné de la manière la plus ferme.
Il a ajouté : L'entité israélienne a tué 180 journalistes et professionnels des médias rien que l'année dernière.
Le porte-parole iranien a souligné que les journalistes et les professionnels des médias sont protégés par le droit international humanitaire conformément aux Conventions de Genève de 1949, notamment la Troisième Convention de Genève, et aux deux Protocoles additionnels de 1977, notamment l'article 79 du Premier Protocole additionnel concernant la protection des journalistes travaillant dans des missions professionnelles dangereuses dans des zones de conflit armé.