Sanaa - Saba :
Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a souligné que la Cour pénale internationale (CPI) ne pouvait pas tourner le dos aux crimes génocidaires commis en Palestine et a émis deux mandats d'arrêt contre les criminels de guerre sionistes Netanyahu et Gallant pour avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité contre les Palestiniens.
Dans une déclaration à l'Agence de presse yéménite (Saba), le porte-parole officiel du ministère des Affaires étrangères et des Expatriés, l'ambassadeur Waheed Al-Shami, a expliqué que la Cour pénale internationale n'a pas levé le petit doigt sur la question palestinienne depuis sa création en 2002, et que son travail a été entaché par la politisation et a été une épée brandie contre certains pays mais pas contre d'autres.
Il a souligné que l'entité sioniste a bafoué le droit international, le droit international humanitaire et a agi comme un État au-dessus des lois, ce qui a conduit à la sape du droit international, des institutions internationales et à la perte de confiance en elles.
Une telle mesure contribuerait à mettre fin à la politique d'impunité des criminels de guerre sionistes et obligerait l'entité sioniste à cesser son agression contre Gaza.
L'ambassadeur Al-Shami a souligné que tous les dirigeants sionistes devraient être traduits devant la justice internationale pour recevoir leur juste punition pour leurs crimes génocidaires contre les Palestiniens.
Il a appelé tous les pays du monde, en particulier les États membres de la Cour, à respecter la décision de la Cour, à coopérer à sa mise en œuvre et à prendre des mesures supplémentaires contre l'entité sioniste usurpatrice conformément à cette décision.
Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a souligné que la Cour pénale internationale (CPI) ne pouvait pas tourner le dos aux crimes génocidaires commis en Palestine et a émis deux mandats d'arrêt contre les criminels de guerre sionistes Netanyahu et Gallant pour avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité contre les Palestiniens.
Dans une déclaration à l'Agence de presse yéménite (Saba), le porte-parole officiel du ministère des Affaires étrangères et des Expatriés, l'ambassadeur Waheed Al-Shami, a expliqué que la Cour pénale internationale n'a pas levé le petit doigt sur la question palestinienne depuis sa création en 2002, et que son travail a été entaché par la politisation et a été une épée brandie contre certains pays mais pas contre d'autres.
Il a souligné que l'entité sioniste a bafoué le droit international, le droit international humanitaire et a agi comme un État au-dessus des lois, ce qui a conduit à la sape du droit international, des institutions internationales et à la perte de confiance en elles.
Une telle mesure contribuerait à mettre fin à la politique d'impunité des criminels de guerre sionistes et obligerait l'entité sioniste à cesser son agression contre Gaza.
L'ambassadeur Al-Shami a souligné que tous les dirigeants sionistes devraient être traduits devant la justice internationale pour recevoir leur juste punition pour leurs crimes génocidaires contre les Palestiniens.
Il a appelé tous les pays du monde, en particulier les États membres de la Cour, à respecter la décision de la Cour, à coopérer à sa mise en œuvre et à prendre des mesures supplémentaires contre l'entité sioniste usurpatrice conformément à cette décision.